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    (CF : le cyber-sommelier )

     

     

    Petite initiation aux whiskies

     

    Lors de la Grande Dégustation de Montréal, un événement auquel je vous avais conviés dans ma dernière chronique, j’y ai fait la rencontre de gens fort sympathiques et fait la découverte de vins particulièrement intéressants. Évidemment, j’ai pris des notes pour mon prochain guide, mais le clou de ma journée je l’ai vécu lors de la dernière heure et demie de la dégustation. Nous avions décidé de réserver cette dernière partie de notre journée à déguster des Scotches et des whiskies. Mon coup de cœur ? Isle of Jura, Superstition (Code SAQ : 10816927, Prix : 73 $), un Scotch tout à fait remarquable, assez tourbé, mais pas trop, doté de notes salines bien en évidence et une bouche bien équilibrée. Cette expérience dans le monde des whiskies et des Scotches m’a donné l’idée d’écrire une chronique sur le sujet. J’ai décidé de construire cette chronique sous forme de questions/réponses.

     

    Quelle est la différence entre un Whisky et un Scotch ?


    La réponse est simple : un Scotch est un Whisky dont l’origine est écossaise. Tous les autres whiskies fabriqués à l’extérieur de l’Écosse sont appelés whisky, tout simplement. En plus de la provenance géographique comme telle, il existe également des différences marquées en ce qui concerne la fabrication des différents whiskies, que ce soit en termes de distillation, de vieillissement ou du choix de la matière première. Par exemple, le Bourbon (États-Unis) doit être fabriqué avec un minimum de 51 % de maïs, distillé à moins de 80 % d’alcool.

     

    Mais, qu’est-ce qu’un whisky ?


    Un Whisky est une eau-de-vie fabriquée par distillation de céréales maltées ou non. Le maltage est une opération consistant à faire germer une céréale, de l’orge la plupart du temps, mais on utilise aussi du seigle, du blé, de l’avoine ou du maïs, afin d’obtenir un enzyme, la maltase. Celle-ci est capable de découper la molécule d’amidon en sucres fermentescibles. Pour mettre fin au processus de maltage, on doit sécher les graines. Cette opération est généralement effectuée dans de grands fours, parfois alimentés par de la tourbe (ce qui donnera à certains whiskies ce goût particulier de fumée). Lorsque le produit est sec, il est broyé et réduit à l’état de farine qu’on appelle le « grist ». Le grist est ensuite mélangé à de l’eau chaude, puis brassé. L’eau joue un rôle extrêmement important dans le processus puisqu’elle imprègne une personnalité au whisky. Un whisky provenant du bord de la mer, par exemple, sera imprégné par des notes salines et iodées. L’ajout d’eau chaude au grist a pour but de transformer l’amidon en sucres fermentescibles. Le produit du brassage s’appelle « wort ». Comme dans le cas d’un vin, on ajoute des levures pour produire la fermentation alcoolique. Ces levures transformeront le sucre en alcool. À la fin de cette étape, on obtient le « wash ». Le wash est ensuite distillé (normalement deux distillations, trois dans le cas du whisky irlandais). On obtient une eau-de-vie incolore titrant à 70°. Vient ensuite une étape cruciale dans le processus de fabrication du whisky, c’est-à-dire le vieillissement. Le vieillissement s’effectue dans des fûts de chêne usagés la majorité du temps, provenant d’origines diverses, dépendant du style qu’on veut obtenir. Ainsi, on utilise des fûts ayant servi à faire du Bourbon, du Xérès, du Madère ou du Porto, parfois même du rhum. Parfois on utilise aussi des fûts de chêne neufs. Le style dicte le type de fût qu’on utilise. Avant l’embouteillage on allonge le whisky avec de l’eau. Ainsi, la plupart du temps, les whiskies titrent à 40° d’alcool.

     

    Quelle est la différence entre un blend et un single malt ?


    Un blend ou blended whisky, est issu de l’assemblage de whiskies d’une ou plusieurs distilleries. L’idée est de créer un style, une recette propre à une marque (Chivas Regal, Johnnie Walker, St-Léger) qu’on reproduit année après année. La plupart des blend n’ont pas de mention d’âge. La très grande majorité des whiskies canadiens et américains sont des blend. On retrouve également sur le marché une catégorie de whiskies se situant à mi-chemin entre un blend et un single malt qu’on appelle pure malt ou vatted malt. Dans ce cas, il s’agit de l’assemblage de whiskies de malt provenant de plusieurs distilleries. L’appellation single malt est réservée aux whiskies provenant d’une seule distillerie. Dans le cas des single malts, on retrouve souvent une mention d’âge sur la bouteille. Dans ce cas, il s’agit de l’âge du plus jeune whisky à entrer dans la composition finale du produit. Exemple, un single malt 12 ans d’âge, peut être issu de l’assemblage de fûts ayant 12, 15 ou 16 ans, mais pas de 10. Contrairement à ce que l’on peut penser, l’apparition des single malts est assez récente et ne date que des années 1960. C’est la distillerie Glenfiddich qui serait à l’origine de cette mode qui prit de l’ampleur par la suite. Aujourd’hui, on ne compte plus le nombre de single malt sur le marché. Certaines distilleries mettent en vente des bouteilles provenant d’un seul fût. On retrouve alors la mention single cask sur la bouteille. En plus de provenir d’un seul fût, règle générale ce type de whisky n’est pas allongé d’eau et titre entre 55 et 65°.

     

     

    Quelle est la différence entre un bourbon et un whisky écossais ?


    Il existe plusieurs différences. Outre la matière première (minimum de 51 % de maïs), le bourbon est vieilli dans des fûts de chêne neufs. Ce qui lui donne rapidement des goûts boisés. Le Scotch est vieilli dans des fûts usagés ayant servi à l’élaboration de Xérès, de Porto, de Madère ou même de bourbon. Du point de vue texture, le bourbon est plus épais que le scotch et les autres whiskies. Du côté saveurs, outre les arômes de bois, le bourbon est plus fruité (pêche, abricot) que le scotch. Le bourbon provient essentiellement de deux états américains, soit le Tennessee et le Kentucky.

     

     

    Le Rye ou le whisky canadien dans tout ça ?


    Le whisky canadien, traditionnellement appelé rye whisky, a connu son heure de gloire dans la période de la prohibition. Historiquement, la matière première était le seigle (rye en anglais), mais de nos jours le seigle est utilisé en quantité négligeable dans les whiskies canadiens, même si lorsqu’on retrouve parfois cette mention sur l’étiquette. Aux États-Unis par contre, un rye whisky doit être élaboré avec un minimum de 51 % de seigle.

     

    Quelles sont les différentes régions écossaises et à quoi faut-il s’attendre ?


    Le scotch est au whisky ce que le Champagne est pour les mousseux. L’appellation scotch whisky est protégée par une loi datant de 1988, le Scotch Whisky Act. Le décret stipule que le scotch doit être distillé et vieilli en Écosse. Il existe cinq grandes régions écossaises produisant le scotch.

    • La vallée de Speyside est située au nord-est de l’Écosse. Il s’agit de la région la plus importante en termes de production. On y produit des whiskies fins, subtils et raffinés. Les plus connues sont Glenlivet, Glenfiddich et Aberlour.

    • La région des Highlands (hautes terres), située au nord, est réputée pour ses whiskies plus robustes, au caractère assumé, souvent tourbés. Oban, Glenmorangie sont des marques bien connues des Québécois.

    • La région des Lowlands (basses terres) offre des whiskies aux styles variés, généralement peu ou pas tourbés, aux arômes fruités. La distillerie Auchentaushan, située dans les Lowlands, produit un scotch ayant subi une triple distillation, contrairement aux autres scotches qui subissent deux distillations.

    • La région des îles ou Islands, est constituée d’un ensemble d’îles produisant des whiskies typés. Certaines d’entre elles ne comptent qu’une seule distillerie, c’est le cas de Isle of Jura (distillerie du même nom), de Skye (Talisker), d’Arran (même nom) et de Mull (Tobermory). Sur les îles d’Orkney on retrouve deux distilleries, Highland Park et Scapa. Mais la plus connue des îles est Islay. Si la plupart des whiskies provenant des îles possèdent des caractères iodés et assez tourbés, c’est d’Islay que proviennent les scotches les plus tourbés. Bowmore, Lagavulin et Laphroaig, dans l’ordre du moins tourbé au plus tourbé, sont de bons exemples.

    • Campbeltown, située dans le Mull of Kintyre, a déjà compté, au XXIe siècle, 34 distilleries. Elle alla jusqu’à s’autoproclamer « capitale mondiale du whisky ». Des 34 distilleries, il n’en reste maintenant que trois; Glengyle, Glen Scotia et Springbank. On y produit des whiskies de caractère et fortement tourbés.

     

    Quels sont les termes employés pour le whisky ?

    • Dram : mesure écossaise équivalant à 2/3 d’once ou 25 ml

    • Gentleman : un double dram

    • Mash ou sour mash : issu du mélange malt/eau/levures, il s’agit d’une sorte de bière qu’on distillera pour en faire du whisky. Littéralement, on pourrait traduire par moût. Le sour mash est l’équivalent utilisé pour les bourbons du Tennessee.

    Conclusion :


    Un petit conseil de dégustation en conclusion. Lorsque vous dégustez des eaux-de-vie, comme c’est le cas ici, celle-ci ne se déroule pas de la même manière que lors d’une dégustation de vin. Surtout en ce qui concerne l’examen olfactif. Si vous plongez votre nez directement dans le verre, comme lors de la dégustation de vin, l’alcool étant très volatil, il brûlera votre lobe olfactif et vous aurez de la difficulté à y discerner les arômes. Ce qu’il faut faire c’est de placer le verre à une vingtaine de centimètres de votre nez, pour ensuite faire tourner le contenu dans le verre et de rapprocher lentement le verre en reniflant doucement. Ainsi, vous détecterez tous les arômes, même les plus subtils.

     

     

     

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    (CF : Rumporter )

     

    Les rhums clubs francophones fleurissent : revue d’effectif !

     

    Avec l’essor du rhum en France, de nombreux clubs de dégustation se sont créés dans les régions Françaises. Certains ont un véritable statut associatif, d’autres n’en sont encore qu’au stade de la communauté sous forme de groupe sur Facebook. Voici une liste (aussi exhaustive que possible) des clubs de rhum francophones.

    rhums clubs

    Rhum Club Occitanie

    Rhum club OccitanieC’est pour étancher une certaine soif de connaissance et l’envie de partager autour d’une passion commune que fut créé le Rhum Club Occitanie, 2ème club régional à voir le jour en France. Les « occitans »  se retrouvent à raison d’une soirée tous les deux mois autour d’un thème précis (les classiques soirées agricole ou mélasse et les plus spécifiques soirées bruts de fûts, distillation en colonne ou pot still) ou autour d’un invité du monde du rhum. Ont été à l’honneur Cédric Brément et ses « Rhums de Céd », Florent Beuchet de La Compagnie des Indes et Alexandre Mourigué de la maison Ferrand (Plantation). Chacune de ses soirées est riche en découvertes, en anecdotes et, souvent, en avant-première. 

    – Le bureau  : DUMOULIN GAETAN – GUARDIA jeremy – Denis LUCHMUN

    – Mail : rhumcluboccitanie@gmail.com

    Groupe Facebook 

    Rhum Club Alsace

    Le club d’amateurs de rhums en Alsace et région Grand Est organise chaque année 7 à 8 rencontres, master classes et dégustations dans la région de Strasbourg.

    Une cotisation annuelle permet d’assister sans supplément à toutes les soirées organisées des vendredi soir. Quelques évènements à venir pour 2017 : Master Class rhums Ferroni par G. Ferroni (le 28 avril 2017), dégustation des rhums de Sainte Lucie le (9 juin 2017), dégustation de rhums blancs pure jus de canne et mélasse, match comparatif des rhums blancs agricoles monovariétaux, Master Class rhums Compagnie des Indes, Masterclass rhums HSE.

    – Bureau : Hervé Midou et Grégory Zancristoforo

     – Groupe Facebook  

    Le Rhum Club de France

    Le Rhum Club France est né en Février 2016 à l’initiative d’Hervé Storme qui avait fait le constat qu’il existait des groupes de rhum club régionaux mais pas en région parisienne. D’abord appelé le Rhum Club Val d’Oise, c’est devenu le Rhum Club Ile-de-France Picardie suite au nombre toujours plus grandissant de membres des départements voisins. A l’origine le Club n’avait pour ambition que de mettre en contact et de réunir les amateurs de rhum de ces deux régions et d’organiser des rencontres autour de dégustations. Une première soirée a été mise en place avec les rhums HSE, ce qui a aussi contribué à lancer le club où il est passé de quelques centaines de membres à plus d’un millier. Greg du  VandB de Beauvais qui était présent à la première soirée a tout de suite adhéré au concept. et il a proposé de mettre son établissement à la disposition du Club pour les futurs événements. S’en suis un voyage aux Antilles du fondateur et une explosion du nombre de membres. C’est à ce moment que le Club a été rebaptisé Rhum Club France suite aux conseils de plusieurs professionnels.

    Rhum Club Nantes-Atlantique

    Rhum club NantesLe Rhum Club Nantes Atlantique a été créé  en novembre 2015 sous l’impulsion d’un souhait : se réunir entre passionnés de la région nantaise pour échanger, déguster partager et découvrir tous les type de rhum.

    Le groupe a été par Ronan Hamon qui d’abord lancé sur Facebook en solo puis je me suis entouré de deux co-administrateurs (Dams Baranger, Axel Larsen Charas) tout aussi passionnés que moi afin de m’aider dans le développement du groupe.

    Normandy Rhum Camp

    Rhum club NormandieLe groupe Facebook Normandy Rhum Camp, créé par Manu Brichet le 6 novembre 2015. Il compte 611 membres aujourd’hui. Il a ensuite créé l’association Normandy Rhum Camp en mars 2016, avec Frédéric Bavière (Fred Dropitsound), Adrien Fontaine, Pascal Derr, Loïc Boutilien et Tony Camus. Ils forment tous les six le bureau dirigeant l’association. Celle-ci compte aujourd’hui 38 adhérents. Cette association a pour objet de faire partager la passion du rhum ainsi que la culture caribéenne : organisation de dégustations, de master class, participation à des salons, présentation d’atelier de création et mettre en relation les professionnels du secteur et leurs adhérents.

    • Bureau : Manu Brichet, Frédéric Bavière (Fred Dropitsound), Adrien Fontaine, Pascal Derr, Loïc Boutilien et Tony Camus
    • Groupe Facebook 
    Rhum Club Poitou-Charentes

    Rhum club Poitou charantesLe Rhum Club Poitou-Charentes a été créé en Janvier 2017 suite à la vue de plusieurs belles soirées réussi par d’autres club sur les réseaux sociaux…

    Le fondateur réside sur Poitiers. Son but est de créer des rencontres, des soirées dégustations, mais également le partage ou l’échange de bouteille et de Samples.

    L’administrateur du club souhaiterait également avoir un rôle d’éducateur sur les dérives du rhum…

    Le Club  déjà réussi à trouver quelques partenariats avec des maisons martiniquaise et quelques établissements pour recevoir ses membres sur la ville de Poitiers….

    L’équipe espère pouvoir proposer des soirées de qualité et surtout permettre de se retrouver autour de notre passion…

    Rhum Club Provence

    Rhum club ProvenceFondé en mars 2016, en présence de Guillaume Ferroni, le Rhum Club Provence rassemble à la fois des professionnels et des amateurs. Basé dans le Vaucluse, il étend son influence dans toute la région provençale et sur les départements limitrophes comme le Gard. Son objectif est simple: faire découvrir le rhum.

    Ainsi il organise des soirées thématiques sur les différents alcools de canne du monde, que ce soit chez des cavistes, des professionnels du rhum ou des particuliers. Ses membres poussent le professionnalisme jusqu’à réaliser ses propres fiches de dégustation afin de sensibiliser les membres à de nouveaux produits. Le tout dans un esprit de partage et de convivialité.

    Le Rhum Club est un relai pour l’actualité du rhum en privilégiant l’actualité locale et nous n’hésitons pas à nous investir également dans l’organisation d’événements comme le Rhum Fest de Marseille.

    Les administrateurs : Cyril Singla et Christophe Floury

    Rhum Club Région Centre

    Rhum club centreWelcome to the Rhum Club Région Centre… Destiné aux amateurs de rhum de la région centre et proches, afin de partager les offres du moment, actualités et prévisions sur les nouveautés à venir, organisations de soirées et dégustations locales etc… Le tout dans la convivialité, la bonne humeur et le partage !!! L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération

    Belgium Rhum Club

    Le Belgium rhum club est un groupe créé par Gregory Gosselin en 2014, cuisinier et amoureux de la Martinique et de ses rhums, pour fédérer autour de sa passion d’autres amateurs de Belgique au vu du succès de la confrérie du rhum.

    Peu bavard et solitaire, le club représenté par un groupe Facebook stagnait. Jean-Louis, amoureux du rhum et collectionneur depuis 20 ans, plus connu sous leRhum club Belgique pseudo de Baba lui propose de s’associer pour relancer les débats autours d’échanges constructifs et non fermés ainsi que de répertorier les cavistes et bonnes adresses belges en rapport avec leur passion.

    Petit à petit les amateurs belges se rendent compte du potentiel en Belgique, surtout sous le parrainage d’Hubert Corman, éminent spécialiste reconnu et caviste généreux autant que passionné.

    Les échanges d’avis, d’expériences et de bouteilles entre amateurs se veulent plus sérieux que sur certains autres groupes « clones » de la confrérie, moins sectaires sur les goûts de chacun ou de débutants, et les belges se rassemblent autour d’une même passion sous leur drapeau.

    Afin de faciliter la vie et l’animation du club au jour le jour et la diversité des échanges, ils s’adjoignent l’aide d’autres passionnés amis.  Laurent Thirion (Roger Caroni), Magali Pierrequin (Distillicious.be), Etienne Sortais, Luc Brandt et Vincent Defrane rejoignent donc l’équipe.

    Chacun sa spécialité, chacun son rôle, chacun son avis.

    Un site internet est créé (belgiumrhumclub.be), le nom est déposé et le site en construction reprendra les dégustations du club, les notes d’Hubert Corman sur ses collectors, des liens utiles, des infos sur le rhum ainsi que le répertoire des adresses en rapport avec le rhum en Belgique.

    Un petit pas pour le rhum, un pas de géant pour les amateurs belges.

    • Bureau : Baba Raki, Laurent Thirion (Roger Caroni), Magali Pierrequin, Etienne Sortais, Luc Brandt et Vincent Dufrane
    • Groupe Facebook
    Rhum club Martinique

    Le Rhum club Martinique a été créé le 29 novembre. Suite au développement des nombreux clubs régionaux, il était impensable que la Martinique n’ait pas son entité.

    Le but du RCM est de partager la passion autour du rhum en échangeant des informations sur le groupe, en organisant des visites, des dégustations, partageant des évènements, …

    Comptant à ce jour 243 membres et 5 administrateurs, nous souhaitons développer le groupe tout en privilégiant le partage et la convivialité.

    Québec Rhum

    Québec Rhum est un club voir même une communauté qui a vu le jour en 2014 suite à la rencontre de trois grands passionnés, Maxime (Fortier), Baptiste (Gissinger) et Mathieu (Larochelle). Il s’agit d’ailleurs du premier club du rhum dans la province du Québec. L’objectif est vraiment de faire connaitre différents produits à travers l’histoire et la culture de ce spiritueux. Pour bien faire le tout, le club organise de façon mensuel des dégustations et ce, dans plus de trois grandes villes du Québec soit Québec, Montréal et Saguenay. Ces dégustations sont tout simplement mémorable que ce soit avec des animateurs invités, avec des produits non disponible en province ou voir même dans des emplacement inusité tel que sur un catamaran, en plein cœur du fleuve St-Laurent. Aujourd’hui, le club est suivis par plus de trois mille personnes sur les réseaux sociaux et a plusieurs dizaines de membres à leur actif. De plus, le club a aussi quelques collaborateurs qui contribuent grandement au succès du club avec diverses évaluations et/ou articles sur des produits en particuliers.

    • Email : quebecrhum@gmail.com
    • Facebook
    Rhum Club Francophone

    Une grande partie des administrateurs de ces clubs s’est réunie autour d’un but, fédérer les clubs autour d’une plateforme commune afin de partager et mutualiser les connaissances. De là, avec quelques passionnés, le Rhum Club Francophone est né.

    Sous l’impulsion de ses fondateurs et avec l’aide de certains membres nous avons développé un Site Internet couplé d’un blog pour relayer les actualités, les notes de dégustations et les informations relatives au Rhum et à son univers.

    Il manquait toutefois une structure de communication pour permettre l’échange. L’échange d’informations bien-sûr, mais aussi des, bouteilles, des samples, des bons plans…

    Le débat a été long et compliqué, certains voulaient un groupe Facebook, d’autres penchaient pour une solution plus stable et qui permettrait de mutualiser et pérenniser l’information. C’est ainsi qu’est né le Forum du Rhum Club Francophone.

    Depuis, les échanges vont bon train et le forum acquiert de nouveaux membres presque tous les jours.

    Quelques chiffres pour illustrer : Le Forum Rhum Club Francophone c’est 11 clubs fédérés, 220 membres inscrits, 236 sujets, et 1634 messages.

    La présence sur Facebook étant de nos jours obligatoire, le RCF A opté pour une page «Fan» qui relaye les articles de blog, les conversations du forum qui génèrent le plus de réactions, et quelques actualités.

     

     

     

     

     

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